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13 décembre 2012 4 13 /12 /décembre /2012 06:23

Bernadette raconte:

J'habite l'appartement au cinquième étage. J'ai déménagé de province parce que j'adore Paris. Je suis célibataire. J'ai 28ans. Je suis excellente cuisinière, séduisante et je m'habille sexy.

Mardi soir, je suis sortie de mon appartement, parce que j'ai eu rendez-vous avec une amie. J'ai pris l'ascenseur et j'ai appuyé sur le button. Je me regardais dans le mirroir de l'ascenseur et commençais à me maquiller. J'étais contente de mes nouveaux vêtements et de mon maquillage.

Mais, l'ascenseur s'est arrêté au 3e étage. Un homme est entré dans l'ascenseur. Je ne me suis pas intéressée  à lui, mais,  je sentais son regard. Soudainement, l'homme m'a parlé. J'étais surprise! Quand je me suis retournée vers lui, j'ai souri, parce qu'il était beau et séduisant. Il s'appellait "Christophe". Il habitait le même immeuble. Il m'intéressait. Soudainement, il s'est agenouillé devant moi. J'étais très surprise. Il me sédusait avec des mots doux. Je l'ai invité à dîner chez moi. Nous étions à  table. Il m'a dit: "ça sent bon! ça a l'air délicieux!". J'étais heureuse,nous nous sourions.

Samedi soir, quelqu'un a sonné à la porte de chez moi. J'ai ouvert la porte et j'ai découvert une lettre anonyme glissée sous la porte. J'étais curieuse. Quand j'ai lu la lettre, j'étais choquée. La lettre dénonçait la relation de Christophe avec Josette. J'étais en colère et triste. J'ai décidé de me venger. Je suis allée chez lui. Quand je suis entrée, il y avait déjà deux femmes. J'étais surprise et en colère.

Il avait trompé les trois femmes. Il a demandé des pardons mais nous n'avons pas accepté. Nous ne pouvions pas le pardonner. Je l'ai couvert de coups follement! Finalement, nous l'avons frappé sur la tête avec des objets lourds. Il est mort!

 

Lee So Min

 

 

Madame Bonnet raconte:

On est retraitées et amies de longue date. Mme Dubois loge au premier et moi, je loge au second étage. On est bavardes et curieuses, rien de ce qui se passe dans l'immeuble ne nous échappe.

Lundi soir, on a parlé du couple du troisième étage, on les a vu s'embrasser dans le parc dérière l'immeuble.

Mardi soir, on a observé Christophe et Bernadette sortant de l'ascenseur, et on a bien vu les joues rougies de Bernadette!

Jeudi soir, on a vu Josette devant la porte de Christophe. Elle y est venue pour chercher sa culotte qui était tombée sur le balcon du troisième étage. On a entendu comment il séduisait cette jeune femme, on sait qu'il est marié avec Odette. On pensait que toutes ces trois femmes étaient malheureuses. Donc, on a décidé d'écrire trois lettres anonymes pour les envoyer à Bernadette, Josette et Odette. Et après, on les a mises devant chaque porte.

Puis, je suis revenue chez moi et je me suis rendue compte que mon appartement avait été cambriolé! Donc, je suis vite descendue au premer et  j'ai frappé à la porte de Mme Dubois. Elle a ouvert la porte, elle avait l'air surpris. Je lui ai dit que quelqu'un était entré chez moi. J'avais proposé d'appeler la police et tout de suite je l'ai fait. Puis, un inspecteur de police est arrivé. Mais, les cambrioleurs n'ont jamais été arrêtés par la police! Et Christophe a disparu, peut-être il s'est séparé d'Odette et il vit ailleurs....On voit souvent l'inspecteur de police entrer chez Mme Odette, mais qu'est-ce qu'ils font ensemble? Nous devons le savoir!!!!!

 

KIM YUN JEONG.>'''<

 

Madame Dubois raconte:

On est retraitées et amies de longue date. Je loge au premier et Mme Bonnet au second étage. On est bavardes et curieuses, rien de ce qui se passe dans l'immeuble ne nous échappe.

Lundi soir, on a parlé du couple du troisième étage, on les a vu s'embrasser dans le parc dérière l'immeuble.

Mardi soir, on a observé Christophe et Bernadette sortant de l'ascenseur, et on a bien vu les joues rougies de Bernadette!

Jeudi soir, on a vu Josette devant la porte de Christophe. Elle y est venue pour chercher sa culotte qui était tombée sur le balcon du troisième étage. On a entendu comment il séduisait cette jeune femme, on sait qu'il est marié avec Odette.

On pensait que toutes ces trois femmes étaient malheureuses. Donc, samedi, on a décidé d'écrire trois lettres anonymes pour les envoyer à Bernadette, Josette et Odette. Et après, on les a mises devant chaque porte.

Dimanche, j'ai passé ma journée à lire. Vers 18h, j'ai entendu un tapement à la porte. J'ai dit: "Qui est-ce?" Puis j'ai ouvert la porte. C'était Mme Bonnet, elle avait l'air épouvanté! Elle a dit: "J'ai été camriolée!!" J'étais surprise! Je lui ai parlé pour la calmer. Finalement, elle a averti la police.

 

KIM SEON YOUNG

 

  Josette reconte:

  Je suis nouvelle locatrice de l'appartement du quatrième étage d'un vieil immeuble de cinq étages à Paris dans le treizième arrondissement. J'ai 25ans on dit que je suis mignonne, souriante, type sportif, indépendante mais mauvaise cuisinière.

Jeudi soir, j'ai lavé le linge et en l'étendant sur les fils au balcon une culotte a glissé de ma main et elle tombait, tombait et tournoyait dans l'air, puis, elle a atterri sur le balcon de Christophe, mon voisin du 3e étage. Donc, je suis allée chez lui. Il m'a examiné des pieds à la tête avec un sourire séducteur. Je l'ai trouvé trés désagréable. Il m'a rendu ma culotte et je lui ai expliqué pourquoi la culotte était tombée au balcon au-dessous. Donc, il m'a dit que ma culotte était aussi jolie comme que moi. Fâchée, j'ai arraché ma culotte de la main de Christophe. Mais soudain, il s'est agenouillé devant moi et  il m'a dit que'il voulait être l'air que je respirais. Mais J'ai répondu que j'étais souvent ésoufflée quand je faisais du jogging le matin. Mais, comme s'il ne m'endendait pas, il continuait: "Je voudrais être sur le redord de votre verre, lorsque vous y posez vos lèvres pour boire." Je pense que Christophe était un grand play-boy! Puis ses yeux se sont posés sur mes vêtemets, il m'a dit que'il voulait être les fibres des tissus qui m'habillaient.

Finalement, je l'ai invité à diner chez moi vendredi soir.

Vendredi soir, Christophe est venu chez moi. Avant j'avais préparé deux hamburgers. Il ma dit: " Ah un hamburger?.. finalement, je me rends compte que he n'au pas paim. vous vous être plus appétissantte!" Je pense qu'il s'avèrais être effectivement très coureur de jupes.

Samdi soir,j'ai trouvé une lettre sous la porte de mon appartement. J'ai lu le texte de la lettre. Il parlait de la relations amoureuses de Christophe. Il e'tait marié à Odette, et il avait aussi deux maîtresses moi et Berandette, ma voisine du se etage, j'ai eu un choc! Dimanche soir, j'étais en colère à cause de Christophe qui avait séduit Bernadette. Alors nous l'avons tué avec des ustensiles de ménage.Et soudain, des cambrioleuses sont arrivés. Nous l'avous caché dans un grand, coffre. Puis deux cambrioleurs sont arrivé et ils nous ont demandé des bijoux. Quand ils ont overt le coffre ils sont restés muets d'épouvante. Mais soudain, on a eu tendu voix d'un policier nous étions embarrassées les cambrioleurs sont sortis, déguisés en déuréuageurs, ils ont emporté le coffre. Finalement l'iuspecteur de police a arrêté l'enquête. Je pense, qu'il est tombé amoureux d'Odette!

 

Eom Da Gyung 

 

 

Maxime raconte:

 

Dimanche soir, il s'est produit un crime dans le treizième arrondissement de Paris dans un vieil immeuble de cinq étages. Deux cambrioleurs sont entrés dans l'immeuble en effraction et ils ont cambriolé l'appartment du second étage. Je suis allé à l'appartment du 3e étage, il y avait trois femmes et un homme qui sombrait dans un sommeil profond. J'ai demandé aux femmes si elles ont vu les cambrioleurs mais la plus belle d'elles m'a répondu: "non". Cette femme avait l'air triste. J'ai continué à enquêté sur cette affaire, mais finalement, je n'ai pas trouvé les cambrioleurs. Mais j'ai vu deux hommes sortir de l'immeuble en portant  un coffre. Ils avaient l'air des cambrioleurs et dans le coffre, il y avait quelques chose de lourd. Je me souvenais de la tristesse de cette belle femme, alors j'ai arrêté d'enquêter chez elle. On a parlé et je l'ai invité à danser la valse. Je pense que je suis tombé amoureux de cette femme.

 

 Jeong Heon Uk

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5 décembre 2012 3 05 /12 /décembre /2012 12:18

La troupe de théâtre du département français de l’Université Cheongju, fondée en avril 2011, comptait 13 membres, tous étudiants de 2e et 3e années. Ils ont choisi la pièce A perte de vie de Jacques Prévert. Ils répétaient 2h par semaine, tous les mardis de 17h à 19h30h, depuis avril jusqu’au juin. Au bout de ces trois mois, la troupe était bien soudée et les étudiants très motivés par l’objectif du spectacle en automne. Puis, des répétitions intensives se sont déroulées du 29 au 31 aout 2011. Le second semestre, de septembre à novembre, la troupe répétait 3h par semaines. Simultanément, le weekend de jeux dramatiques a été organisé.

 

Le spectacle a été présenté lors de la 3e édition de la Rencontre des spectacles universitaire francophones organisée, fin novembre, par l’Alliance française de Daejeon. Les troupes de l’Université Chungbuk, Chungnam, Cheongju, Hannam et Mokwon ont présenté leur spectacle de théatre et de comédies musicales. Plusieurs personnes de l'Ambassade de France sont venues: M. Arnaud Pannier, attaché linguistique, et M. Jacques Cretin, délégué général des AF de Corée. Le soir, dans l’annexe de l’Alliance française de Daejeon, un débat autour du théatre a été animé par le professeur Cho Mansu de l’Université Chungbuk, suivi d’un diner convivial.  

 

Ouverture du Festival  Notre spectacle1  Notre spectacle3

 

 

 

« A perte de vie »

(Deux petites pièces de Jacques Prévert)


Le Bureau des Objets trouvés est assiégé ce jour-ci. Ceux, qui viennent, ont tous perdu quelque chose d’important pour eux : un fils a perdu sa tête et une mère son fils, un conducteur a trouvé la mort dans un accident de voiture et l’homme renversé par la voiture de ce conducteur a perdu sa vie. Une vielle femme aveugle a perdu sa vue, une boiteuse sa canne et une dame son chien, « c’est à la fourrière qu’il faut aller, » leur dit l’employé du Bureau des Objets trouvés. Retrouveront-ils ce qu’ils avaient perdu ? Laissez-vous surprendre ! 

 

Liste des participants :

이한아(le 1er commentateur radio)

항승미(le 2nd commentateur radio)

신민희(la mère)

송의주(le fils cadet)

서연경(le fils ainé, la dame)

김혜 (l’employé du Bureau des Objets trouvés)

이동주(le conducteur)

박수진(l’homme renversé)

한초희(la mort)

이보람 (le sacristain)

이민아(la boiteuse)

정민은(l’aveugle)

정우열 (technicien)

 


 

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5 décembre 2012 3 05 /12 /décembre /2012 12:02

 

En novembre 2011, lors de la Rencontre des spectacles universitaires francophones,  organisée par l’Alliance française de Daejeon, la troupe d’étudiant de l’Université de Cheongju a joué  une adaptation de deux petites pièces de Jaques Prévert (En famille,  A perte de vie). Voici un extrait du spectacle, la première partie : En famille :

 

 

La mère : Ils sont tombés sur la tête tous ses coureurs en bicyclettes! Quand ils perdent, ils  font une tête de six pieds de long, certains même se tapent la tête contre les murs. Et  quand ils gagnent, ils se promènent la tête haut… C’est comme mes fils. Le cadet, il a souvent la tête ailleurs ! Il me tient la tête tous les jours. J’ai beau lui dire, mais il ne fait toujours qu’à sa tête! L’ainé, c’est tout à fait autre chose! C’est une grosse tête !

Le fils cadet : Fermez la porte, mère, vite, je vous en prie !

La mère : Le verrou…voilà ! Regardez-moi ça, il entre en coup de vent et il crie et il tremble de tous ses membres.

Le fils cadet : Oh ! Mère, si vous saviez…

La mère : Je ne sais pas mais je m’en doute… Tu as encore fait une bêtise !

Le fils cadet : Hélas !

La mère : Dis moi donc,  pourquoi cette fièvre et ce regard inquiet ? Et qu’est-ce que tu caches sous ton bras ?

Le fils cadet : C’est la tête de mon frère, mère.

La mère : La tête de ton frère !

Le fils cadet : Je l’ai tué, mère !

La mère : Etait-ce bien nécessaire ?

Le fils : Il était plus intelligent que moi.

La mère : Pardonne-moi, mon fils, je t’ai fait comme j’ai pu…. Je t’ai fait de mon mieux… Mais qu’est-ce que tu veux, ton père, hélas, n’était pas très malin non plus. Allez, donne-moi cette tête, je vais la cacher… C’est pas la peine que les voisins soient au courant. Avec leur malveillance, ils seraient capables d’insinuer un tas de choses...

Le fils cadet : Ne le regardez pas, mère !

La mère : Manquerait plus que ça, que je ne regarde pas la tête de mon aîné une dernière fois ! Il était mon préféré… Et voyez-vous ça ! Ce petit bon à rien ne prend même pas la peine de lui fermer les yeux ! Ah, ces enfants, tout de même ! Si je n’étais pas là ! Je pense que dans le cellier, derrière les caisses avec des bouteilles de vin…

Le fils cadet : Dans le cellier, mère, vous ne craignez pas  que … que…

La mère : Rien à craindre ! C’est là où, déjà, j’ai mis la tête de ton père quand je l’ai tué, il y a vingt-cinq ans.

La mère : Eh oui, j’étais jeune, amoureuse, j’étais folle, j’aimais rire, danser…  Je reviens tout de suite…N’oublie pas de mettre les couverts.

Le fils cadet : Bien, mère.

La mère : Et le corps ? Fils, qu’est-ce que tu as fais du corps ?

Le fils cadet : Le corps ? Il court encore …

La mère : Ah ! Jeunesse ! Tous les mêmes… toujours dehors à galoper, à gambader de joie…

Le fils cadet : Qui est là ? Qui est là ? Quelqu’un frappe, je questionne et personne ne me répond… Mais une force invincible me pousse à tirer le verrou…

Le fils cadet : Assieds-toi… Evidemment !

La mère : Ça y est… la chose est faite… Ah ! Te voilà, toi ! Quelle idée de se mettre dans un état pareil !  Et tout essoufflé en plus… Allez ! A table, et mange ta soupe. Et toi aussi Et puis, j’espère que vous n’allez pas encore vous disputer ? Allez, donnez-vous la main et faites la paix…

Le fils cadet : Mais,  mère !

La mère : Tu m’entends, oui ?

Le fils cadet : Oui, mère. Ne m’en veux pas… J’ai agi dans un moment de colère…

La mère : Donc, tout va bien ! Mais asseyez-vous vite, la soupe va refroidir.

 Le fils cadet : Mais mère !... Il ne pourra pas, lui, la manger, sa soupe !

La mère : Manquerait plus que ça! Va chercher l’entonnoir.

Le fils cadet : L’entonnoir, mère ?

La mère : Bien sûr, mon enfant Voyons tout de même, c’est pas sorcier ! Vraiment, on a beau être patient, il y a véritablement des moments… où je me demande ce que j’ai fait au bon Dieu pour avoir des enfants pareil !         

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5 décembre 2012 3 05 /12 /décembre /2012 03:36

La 4e édition de la Rencontre des spectacles universitaires francophones s’est déroulée le 22 novembre 2012 dans une salle toute neuve de l’Université Hannam à Daejeon, Corée du Sud. Quatre troupes, venues de quatre universités sud-coréens y ont participé : Université Dankook de la ville de Chonan, Universités Chungbuk et Cheongju de la ville de Cheongju, et Université Hannam de Daejeon.

Notre troupe a joué la pièce Le destin d’un grand séducteur, créée dans l’atelier d’écriture de Marcela lors du premier semestre 2012. Voici trois vidéos extraits du spectacle, accompagnées de textes :

 

 

Josette :           J’ai lavé le linge et en l’étendant sur les fils au balcon, la culotte a glissé de ma main et elle tombait, tombait et tournoyait dans l’air, puis elle a atterri sur votre balcon.

Christophe :     C'était un caprice du destin. Je dois avouer, mademoiselle, que cette culotte est aussi jolie comme vous.

Josette:            Vous croyez ?

Christophe :     Mademoiselle,  je voudrais être l'air que vous respirer.

Josette:            Attention, monsieur, je suis souvent essoufflée quand je fais du jogging le matin.

Christophe:      Je voudrais être sur le rebord de votre verre, lorsque vous y posez vos lèvres pour boire.

Josette :           Ça tombe bien, puisque je dois boire beaucoup après avoir couru.

Christophe :     Je voudrais être les fibres des tissus qui vous habillent.

Josette:            Je m'habille en jogging.

Christophe:      Je voudrais être un des fils de vos draps pour caresser votre peau toute la nuit, vous envelopper, vous emmener et vous accompagner vers de doux rêves.

Josette:            Voulez-vous coucher avec moi? Je vous invite à diner chez moi demain soir.

Mme Bonnet : Avez-vous entendu la même chose que moi, Mme Dubois ?

Mme Dubois : Oh, oui, Mme Bonnet ! Une culotte de mademoiselle tombée comme par hasard sur le

balcon du monsieur !

Mme Bonnet :   Et le monsieur s’habillera en jogging pour respirer l’air de mademoiselle, coureur de

                          jupons !

Mme Dubois : Et il boira de l’eau dans le verre de mademoiselle, paillard !

Mme Bonnet : Et il caressera les draps de son lit toute la nuit, débauché !

 

 


Odette (épouse de Christophe, grand séducteur):

 

Un cheveu long... Bernadette!  Un cheveu court... Josette!

Un parfum séduisant, sauvage, sexy... Bernadette!

Un parfum doux, frais, sensuel... Josette!

 

 


 

Maxime :             Police ! Ouvrez !

Maxime :             Deux hommes ont cambriolé l’appartement au second étage.  Avez-ont vu ou entendu quelqu’un suspect ?

Maxime :            Et vous, monsieur ?

Les femmes :      N’insistez pas, monsieur l’inspecteur, il a trop bu …

Maxime:             Nous avons bloqué toutes les issus, donc nous supposons que les cambrioleurs sont encore dans l’immeuble. Soyez prudentes, mesdemoiselles! Soyez prudente, madame…

 

Cambr 1:             Où sont vos bijoux?

Cambr 2 :            Vos bagues aux diamants !

Cambr 1 :            Vos bracelets en or !                                   

Cambr 2 :            Vos colliers en perles !

 Cambr 1 :           Vos boucles d’oreilles en argent ?

Cambr 2 :            Chez les vieilles, nous n’avons rien trouvé, mais vous, vous en portez, des bijoux précieux, hein ? 

Cambr 1 :            Allez, dites-nous, où sont-ils cachés ?

Cambr1 :             Un mec !

Cambr 2 :            Un mec mort !

Cambr1 :             Un mec mort, assassiné !

 

 

 

 

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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 01:31

11 Narratrice

Le fait de participer au théatre était une grand expérience pour moi. J'ai plus de confiance en moi, de plus en plus.

Pendant la rencontre, j'etais stressée pour bien prononcer le texte et contrôler mon regard. Mais je me suis réjouie quand notre spectacle a provoqué le rire dans le publie. Je n'ai pas aimé le débat. parce que j'avais faim après la fin des spectacles et j'etais fatiguée. Et il n'y avait pas assez à manger ( un sandwich, un gâteau) Je pense que le débat devait se faire avant le commencement des spectacles. Mais j'étais contente de rencontrer des étudiants d'autres universités.

 

Da gyung Eom

 

14 Deux vieilles

 

J'écris sur le projet théàtre. D'abord, pendant les répétitions, j'ai aimé quand on est allés à l'église pour jouer ensemble, parce que la troupe a fait la répétition générale, il y avait les téchniciens de lumière, de projection et le piano. Et, j'ai aimé le spectacle sur la vraie scène pendant la rencontre, parce que j'ai pu jouer avec ma troupe devant le public. J'ai aimé aussi manger les gâteaux et les sandwichs, en tout cas j'ai aimé tout le débat, car j'ai parlé avec d'autres étudiants qui viennent d'autres universités, j'ai appris beaucoup de choses sur les étudiants, les professeurs, les universités. Par contre, je n'ai pas aimé le filage, parce qu'on était occupés par autres choses et on n'a pas eu le temps pour répéter sur la scène. J'étais déçue que le son des films n'a pas marché pendant notre spectacle. Enfin,après avoir terminé le spectacle, je dois dire que c'était très intéressant.

 

KIM YUN JEONG

 

21 On danse

 

 

Nous faisions des répetitions du septembre au novembre. Les répetitions étaient gaies pour moi, parce que je pouvais voir mes amis dans des rôles qui leur allaient bien. Mais avoir une bonne intonation est difficile, parce que mon intonation était rigide, monotone. Quand je parlais avec un micro, je me sentais comme une chanteuse! C'était intéressant. Pendant la rencontre, j'aimais la réaction du public à notre spectacle.Mais il était difficile de danser avec moi-même. Je me sentais  comme une tronche. Après avoir fini notre spectacle,le public nous  a  applaudi. J'étais impressionée. En effet, je n'ai pas aimé le débat.Je pense que le débat était trop long. Je voulais du riz mais il y avait un gâteau.Je ne peux pas oublier le spectacle.Je pense que c'était une expérience spéciale pour moi.

 

Lee so min

 

09 Coiffure avant le spectacle 

Je aime beaucoup le théâtre. j'ai joué du théâtre comme enfant, j'en garde un bon souvenir. La chose la plus difficile était de jouer un cambrioleur et changer de costume, parce que j'ai joué deux  rôles. J'ai aimé les moments où j'ai fait rire  le public. Je n'ai pas mangé pendant la table ronde, parce que j'avais besoin du riz. Et on a mangé des sandwichs. Nous n'avons pas arrivé à  nous mettre d'accord pour répondre au nom du groupe. On s'est bien amusés. 

 

Kim seon young

 

 20 Les cambrioleurs ont disparu

J'ai aimé jouer du théâtre avec les autres et apprécié le lieu de la rencontre(la salle de spectacle et les annexes). J'ai bien mangé les sandwichs délicieux mais je n'ai pas aimé qu'il nous a manqué le temps pour répéter et on a joué directement, sans pouvoir répéter sur la scène.

Jeong heon uk

       

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Département Français

  • : Marcela
  • : Je suis professeur du français à l'Université de Cheongju en Corée du Sud. J'ai créé ce blog pour mes étudiants et mes collègues coréens du département de français.
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